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deleuze memories
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19.4.2 ]
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20
20.1
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39.1.1 ]
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40
40.1
40.1.1
- 41 - 45
- 46 - 50
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-
1.
Le penseur est heureux lorsqu'il n'a plus le choix.
1.1.>
index. -
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1.1.
1. Le penseur est heureux lorsqu'il n'a plus le choix.
La première expérience de la pensée c'est que nous n'avons pas le choix.
<1.
2.>
index. -
-
-
-
2.1.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
<2.
2.2.>
index. -
-
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-
2.3.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
2.1. Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
2.2. L'objet pensé est moins l'objet d'une découverte que d'une reconnaissance.
La pensée, en tant qu'elle pense,
ne vise pas un objet identique à soi,
et n'opère pas dans un champ objectif-explicite.
<2.2.
2.3.1>
index. -
-
-
2.3.1.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
2.1. Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
2.2. L'objet pensé est moins l'objet d'une découverte que d'une reconnaissance.
2.3. La pensée, en tant qu'elle pense, ne vise pas un objet identique à soi, et n'opère pas dans un champ objectif-explicite.
La pensée ne pense vraiment que dans une zone "distincte-obscure".
<2.3.
2.3.2.>
index. -
-
-
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-
2.3.2.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
2.1. Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
2.2. L'objet pensé est moins l'objet d'une découverte que d'une reconnaissance.
2.3. La pensée, en tant qu'elle pense, ne vise pas un objet identique à soi, et n'opère pas dans un champ objectif-explicite.
2.3.1. La pensée ne pense vraiment que dans une zone "distincte-obscure".
Une image servile de la pensée : quand elle est fondée sur l'interrogation (donner la bonne réponse,
trouver le résultat juste, comme à l'école ou dans les jeux télévisés). (Cf. 8.1.2.)
<2.3.1.
2.4.>
index. -
-
2.4.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
2.1. Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
2.2. L'objet pensé est moins l'objet d'une découverte que d'une reconnaissance.
2.3. La pensée, en tant qu'elle pense, ne vise pas un objet identique à soi, et n'opère pas dans un champ objectif-explicite.
2.3.1. La pensée ne pense vraiment que dans une zone "distincte-obscure".
2.3.2. Une image servile de la pensée : quand elle est fondée sur l'interrogation (donner la bonne réponse,
trouver le résultat juste, comme à l'école ou dans les jeux télévisés). (Cf. 8.1.2.)
Penser est peut-être difficile en fait, mais facile en droit : il suffit de le vouloir (décision) et de s'appliquer (méthode).
<2.3.2.
2.5.>
index. -
-
2.5.
2. La pensée ne dépend pas de la pensée.
2.1. Penser n'est pas inné mais doit être engendré dans la pensée. (Cf. 26.2.)
2.2. L'objet pensé est moins l'objet d'une découverte que d'une reconnaissance.
2.3. La pensée, en tant qu'elle pense, ne vise pas un objet identique à soi, et n'opère pas dans un champ objectif-explicite.
2.3.1. La pensée ne pense vraiment que dans une zone "distincte-obscure".
2.3.2. Une image servile de la pensée : quand elle est fondée sur l'interrogation (donner la bonne réponse,
trouver le résultat juste, comme à l'école ou dans les jeux télévisés). (Cf. 8.1.2.)
2.4. Penser est peut-être difficile en fait, mais facile en droit : il suffit de le vouloir (décision) et de s'appliquer (méthode).
La philosophie exige un fondement comme la marque qu'elle a enfin commencé à penser,
qu'elle a quitté pour de bon l'horizon d'une pensée seulement possible (l'opinion, la doxa).
<2.4.
3.>
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-
3.
On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
<2.5.
3.1.>
index. -
-
-
-
3.1.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
<3.
3.1.1.>
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3.1.1.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
<3.1.
3.2.>
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3.2.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
<3.1.1.
3.2.1.>
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3.2.1.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois », parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène. (Cf. 14.)
<3.2.
3.3.>
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3.3.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
3.2.1. Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois »,
parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène.(Cf. 14.)
Tout commencement est un déjà un retour, mais celui-ci implique toujours un écart, une différence. (Cf. 19.)
<3.2.1.
3.3.1.>
index. -
-
-
3.3.1.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
3.2.1. Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois »,
parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène.(Cf. 14.)
3.3. Tout commencement est un déjà un retour, mais celui-ci implique toujours un écart, une différence. (Cf. 19.)
=> Déchirement du soi auquel on ne cesse de retourner comme à un étranger puisqu'il est perdu.
<3.3.
3.3.2.>
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3.3.2.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
3.2.1. Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois »,
parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène.(Cf. 14.)
3.3. Tout commencement est un déjà un retour, mais celui-ci implique toujours un écart, une différence. (Cf. 19.)
3.3.1. => Déchirement du soi auquel on ne cesse de retourner comme à un étranger puisqu'il est perdu.
=> Arrachement à soi auquel on ne revient qu'en étranger, méconnaissable ou devenu imperceptible.
<3.3.1.
3.3.3.>
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3.3.3.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
3.2.1. Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois »,
parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène.(Cf. 14.)
3.3. Tout commencement est un déjà un retour, mais celui-ci implique toujours un écart, une différence. (Cf. 19.)
3.3.1. => Déchirement du soi auquel on ne cesse de retourner comme à un étranger puisqu'il est perdu.
3.3.2. => Arrachement à soi auquel on ne revient qu'en étranger, méconnaissable ou devenu imperceptible.
Une époque ne finit que parce qu'une autre a déjà commencé. (Cf. 31.1.)
<3.3.2.
3.3.3.1.>
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3.3.3.1.
3. On ne commence jamais « une fois pour toutes ».
3.1. Penser ne se fait qu' « au milieu ». (Cf. 9.2.5.4.3.1.1.)
3.1.1. Il n'y a de commencement réel qu'au milieu.
3.2. Sans commencement ni fin, il n'y a pas de contradiction.
3.2.1. Le commencement doit être répété, et même affirmé « pour toutes les fois »,
parce que le monde n'a pas la réalité que nous croyons : il est hétérogène.(Cf. 14.)
3.3. Tout commencement est un déjà un retour, mais celui-ci implique toujours un écart, une différence. (Cf. 19.)
3.3.1. => Déchirement du soi auquel on ne cesse de retourner comme à un étranger puisqu'il est perdu.
3.3.2. => Arrachement à soi auquel on ne revient qu'en étranger, méconnaissable ou devenu imperceptible.
3.3.3. Une époque ne finit que parce qu'une autre a déjà commencé. (Cf. 31.1.)
Une fin ne suffit pas à faire un événement, à nous jeter dans l'événement. (Cf. 5.1.)
<3.3.3.
4.>
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-
4.1.
4. L'acte de penser met nécessairement en crise la subjectivité. (Cf. 5.6.5.)
L'acte de penser ne se conquiert que dans l'état d'une pensée hors d'elle-même,
qui n'est absolument puissante qu'au point extrême de son impuissance.
<4.
4.2.>
index. -
-
4.2.
4. L'acte de penser met nécessairement en crise la subjectivité. (Cf. 5.6.5.)
4.1. L'acte de penser ne se conquiert que dans l'état d'une pensée hors d'elle-même,
qui n'est absolument puissante qu'au point extrême de son impuissance.
Penser déplace la position subjective : non pas que le sujet promène son identité parmi les choses,
mais l'individuation d'un nouvel objet ne se sépare pas d'une nouvelle individuation du sujet. (Cf. 34.3.1.1.)
<4.1.
5.>
index. -
-
5.
Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
<4.2.
5.1.>
index. -
-
5.1.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
<5.
5.2.>
index. -
-
5.2.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
On ne peut rendre raison d'un événement.
<5.1.
5.3.>
index. -
-
5.3.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
L'événement met en crise l'idée d'histoire.
<5.2.
5.3.1.>
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-
5.3.1.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
Ou bien il n'arrive rien, ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
<5.3.
5.4.>
index. -
-
5.4.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
<5.3.
5.5.>
index. -
-
5.5.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
L'événement appartient essentiellement au langage, il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
<5.4.
5.5.1.>
index. -
-
5.5.1.
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage, il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
<5.5.
5.6.>
index. -
-
5.6.
-
...
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
L'événement se joue sur deux modes temporels : à la fois le présent de son effectuation dans un état de choses,
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
<5.5.1.
5.6.1.>
index. -
...
-
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5.6.1.
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...
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5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
<5.6.
5.6.2.>
index. -
...
-
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5.6.2.
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...
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5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
<5.6.1.
5.6.2.1.>
index. -
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5.6.2.1.
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5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
5.6.2. L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
L'événement est ainsi escamoté. C'est qu'en tant que tel qu'il n'a pas de présent,
et ferait coïncider étrangement le futur (pas encore là et pourtant déjà là) et le passé (encore présent et pourtant déjà passé).
<5.6.2.
5.6.3.>
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5.6.3.
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5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
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5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
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5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
5.6.2. L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
5.6.2.1. L'événement est ainsi escamoté. C'est qu'en tant que tel qu'il n'a pas de présent,
et ferait coïncider étrangement le futur (pas encore là et pourtant déjà là) et le passé (encore présent et pourtant déjà passé).
L'événement en tant que tel ne cesse d'advenir, il est impossible qu'il finisse.
<5.6.2.1.
5.6.3.1.>
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...
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5.6.3.1.
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...
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5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
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5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
5.6.2. L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
5.6.2.1. L'événement est ainsi escamoté. C'est qu'en tant que tel qu'il n'a pas de présent,
et ferait coïncider étrangement le futur (pas encore là et pourtant déjà là) et le passé (encore présent et pourtant déjà passé).
5.6.3. L'événement en tant que tel ne cesse d'advenir, il est impossible qu'il finisse.
Arriver est ce qui ne cesse jamais, malgré son instantanéité.
<5.6.3.
5.6.4.>
index. -
...
-
-
5.6.4.
-
...
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
5.6.2. L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
5.6.2.1. L'événement est ainsi escamoté. C'est qu'en tant que tel qu'il n'a pas de présent,
et ferait coïncider étrangement le futur (pas encore là et pourtant déjà là) et le passé (encore présent et pourtant déjà passé).
5.6.3. L'événement en tant que tel ne cesse d'advenir, il est impossible qu'il finisse.
5.6.3.1. Arriver est ce qui ne cesse jamais, malgré son instantanéité.
Dans l'événement, les différents moments du temps ne sont pas successifs mais simultanés.
<5.6.3.1.
5.6.5.>
index. -
...
-
-
5.6.5.
-
...
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
-
5.1. L'événement s'inscrit dans le temps sans s'y réduire et
il est l'intériorité des présents disjoints. (Cf. 34.1.)
-
5.2. On ne peut rendre raison d'un événement.
-
5.3. L'événement met en crise l'idée d'histoire.
-
5.3.1. Ou bien il n'arrive rien,
ou bien l'histoire est seulement la représentation homogénéisante d'une succession d'événements irréductibles.
-
5.4. L'événement c'est le sens lui-même. (Cf. 9.2.5.4.4.)
-
5.5. L'événement appartient essentiellement au langage,
il est dans un rapport essentiel au langage ;
mais le langage est ce qui se dit des choses. (Cf. 10.)
-
5.5.1. L'événement est inséparablement le sens des phrases et le devenir du monde : il est ce qui, du monde,
se laisse envelopper dans le langage et lui permet de fonctionner.
-
5. Penser naît d'un hasard, penser est toujours circonstanciel, relatif à un événement qui survient à la pensée.
ou de son incarnation dans un « mélange de corps » ; mais aussi une éternité paradoxale où quelque chose d'ineffectuable,
d'incorporel, déborde et survit à l'effectuation.
5.6.1. L'événement ne se réduit pas à son effectuation.
5.6.2. L'événement ne pourrait jamais s'effectuer s'il ne disposait de la continuité d'un présent homogène ;
mais quand l'effectuation est finie, on remarque qu'on est dans un autre présent qui succède au précédent.
5.6.2.1. L'événement est ainsi escamoté. C'est qu'en tant que tel qu'il n'a pas de présent,
et ferait coïncider étrangement le futur (pas encore là et pourtant déjà là) et le passé (encore présent et pourtant déjà passé).
5.6.3. L'événement en tant que tel ne cesse d'advenir, il est impossible qu'il finisse.
5.6.3.1. Arriver est ce qui ne cesse jamais, malgré son instantanéité.
5.6.4. Dans l'événement, les différents moments du temps ne sont pas successifs mais simultanés.
À ce niveau, l'événement n'est plus seulement la différence des choses, il affecte la subjectivité,
il porte la différence dans le sujet. (Cf. 37.)
<5.6.4.
6.>
index. -
...
-
-
6.
L'intolérable est cet affect qui nous laisse paradoxalement sans affect, désaffectés, désarmés face aux situations élémentaires,
impuissants face à l'universelle montée des clichés. (Cf. 10.) (Cf. 18.) (Cf. 27.)
<5.6.5.
6.1.>
index. -
-
6.1.
6. L'intolérable est cet affect qui nous laisse paradoxalement sans affect, désaffectés, désarmés face aux situations élémentaires,
impuissants face à l'universelle montée des clichés. (Cf. 10.) (Cf. 18.) (Cf. 27.)
La sensibilité à l'intolérable constitue une émergence positive de quelque chose qui n'existait pas auparavant,
et qui induit une nouvelle image de la pensée.
<6.
7.>
index. -
-
7.
Qu'est-ce qui s'est passé ? C'est-à-dire aussi bien : que devient la philosophie ? (Cf. 25.) (Cf. 27.1.)
<6.1.
8.>
index. -
-
8.
La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
<7.
8.1.>
index. -
-
8.1.
8. La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
La pensée, en tant qu'elle pense, n'énonce pas des vérités, ou plutôt ses actes de vérité sont les problèmes eux-mêmes,
qui ne naissent pas tout faits. (Cf. 44.1.)
<8.
8.1.1.>
index. -
-
8.1.1.
8. La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
8.1. La pensée, en tant qu'elle pense, n'énonce pas des vérités, ou plutôt ses actes de vérité sont les problèmes eux-mêmes,
qui ne naissent pas tout faits. (Cf. 44.1.)
Aimer le vrai n'est pas spontané.
<8.1.
8.1.2.>
index. -
-
8.1.2.
8. La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
8.1. La pensée, en tant qu'elle pense, n'énonce pas des vérités, ou plutôt ses actes de vérité sont les problèmes eux-mêmes,
qui ne naissent pas tout faits. (Cf. 44.1.)
8.1.1. Aimer le vrai n'est pas spontané.
Les problèmes ne disparaissent pas dans les solutions ou les réponses.
<8.1.1.
8.1.3.>
index. -
-
8.1.3.
8. La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
8.1. La pensée, en tant qu'elle pense, n'énonce pas des vérités, ou plutôt ses actes de vérité sont les problèmes eux-mêmes,
qui ne naissent pas tout faits. (Cf. 44.1.)
8.1.1. Aimer le vrai n'est pas spontané.
8.1.2. Les problèmes ne disparaissent pas dans les solutions ou les réponses.
La vraie liberté est dans un pouvoir de décision, de constitution des problèmes eux-mêmes.
<8.1.2.
8.1.4.>
index. -
-
8.1.4.
8. La question n'est plus : comment atteindre à la vérité ?,
mais : dans quelles conditions la pensée est-elle amenée à chercher la vérité ?
8.1. La pensée, en tant qu'elle pense, n'énonce pas des vérités, ou plutôt ses actes de vérité sont les problèmes eux-mêmes,
qui ne naissent pas tout faits. (Cf. 44.1.)
8.1.1. Aimer le vrai n'est pas spontané.
8.1.2. Les problèmes ne disparaissent pas dans les solutions ou les réponses.
8.1.3. La vraie liberté est dans un pouvoir de décision, de constitution des problèmes eux-mêmes.
Les problèmes sont des actes qui ouvrent un horizon de sens, et qui sous-tendent la création des concepts :
une nouvelle allure du questionnement, ouvrant une perspective inhabituelle sur le plus familier ou conférant de l'intérêt
à des données jusque-là réputées insignifiantes.
<8.1.3.
9.>
index. -
-
-
-
9.
Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
<8.1.4.
9.1.>
index. -
-
9.1.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
-
9.2.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
Une rencontre est toujours inexplicable.
-
-
9.2.1.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
-
9.2.2.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
-
9.2.3.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
-
9.2.3.1.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
-
9.2.3.2.
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement, donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
-
-
9.2.4.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
<9.2.3.2.
9.2.4.1.>
index. -
...
-
-
9.2.4.1.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
Le désir est production.
<9.2.4.
9.2.4.1.1.>
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...
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-
9.2.4.1.1.
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...
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
<9.2.4.1.
9.2.4.1.1.1.>
index. -
...
-
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9.2.4.1.1.1.
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...
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
L'être objectif du désir est le réel lui-même.
<9.2.4.1.1.
9.2.4.2.>
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...
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-
9.2.4.2.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
<9.2.4.1.1.1.
9.2.4.3.>
index. -
...
-
-
9.2.4.3.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
<9.2.4.2.
9.2.4.3.1.>
index. -
...
-
-
9.2.4.3.1.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
<9.2.4.3.
9.2.5.>
index. -
...
-
-
9.2.5.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
<9.2.4.3.1.
9.2.5.1.>
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...
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-
9.2.5.1.
-
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-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
9.2.4.1. Le désir est production.
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
Le propre du signe est d'impliquer.
<9.2.5.
9.2.5.2.>
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
-
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
-
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
-
9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
<9.2.5.1.
9.2.5.3.>
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
-
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
-
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
-
9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
<9.2.5.2.
9.2.5.4.>
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9.2.5.4.
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
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9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
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9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
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9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
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9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
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9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
<9.2.5.3.
9.2.5.4.1.>
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9.2.5.4.1.
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
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9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
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9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
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9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
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9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
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9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
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9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
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9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
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9.2.4.1. Le désir est production.
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9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
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9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
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9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
<9.2.5.4.
9.2.5.4.2.>
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9.2.5.4.2.
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
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9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
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9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
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9.2.4.1. Le désir est production.
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9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
9.2.5.4.1. Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
Il n'y a de sens que dans les interstices de la représentation, dans le hiatus des points de vue. (Cf. 19.4.1.)
<9.2.5.4.1.
9.2.5.4.3.>
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
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9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
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9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
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9.2.4.1. Le désir est production.
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9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
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9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
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9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
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9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
9.2.5.4.1. Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
9.2.5.4.2. Il n'y a de sens que dans les interstices de la représentation, dans le hiatus des points de vue. (Cf. 19.4.1.)
Le sens est divergence, dissonance, disjonction. (Cf. 19.4.)
<9.2.5.4.2.
9.2.5.4.3.1.>
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
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9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
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9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
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9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
-
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
9.2.5.4.1. Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
9.2.5.4.2. Il n'y a de sens que dans les interstices de la représentation, dans le hiatus des points de vue. (Cf. 19.4.1.)
9.2.5.4.3. Le sens est divergence, dissonance, disjonction. (Cf. 19.4.)
Penser consiste dans l'émergence du sens comme force.
<9.2.5.4.3.
9.2.5.4.3.1.1.>
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9.2.5.4.3.1.1.
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9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
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9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
-
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
-
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
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9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
9.2.5.4.1. Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
9.2.5.4.2. Il n'y a de sens que dans les interstices de la représentation, dans le hiatus des points de vue. (Cf. 19.4.1.)
9.2.5.4.3. Le sens est divergence, dissonance, disjonction. (Cf. 19.4.)
9.2.5.4.3.1. Penser consiste dans l'émergence du sens comme force.
C'est en ce sens que l'activité philosophique - former des concepts - a toujours lieu au milieu, et ne maîtrise pas son commencement.
<9.2.5.4.3.1.
9.2.5.4.4.>
index. -
...
-
-
9.2.5.4.4.
-
...
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
- au lieu d'une disposition naturelle, une incitation fortuite, contingente. Cela relève d'une rencontre.
-
9.1. Qu'il s'agisse de penser ou de vivre, l'enjeu est toujours la rencontre, l'événement,
donc la relation en tant qu'extérieure à ses termes.
-
9.2. Une rencontre est toujours inexplicable.
-
9.2.1. Rencontrer n'est pas reconnaître, c'est l'épreuve même du non-reconnaissable.
-
9.2.2. Toute rencontre est possible, mais pas pour autant sélectionnée par l'expérience. (Cf. 35.1.1.2.2.)
-
9.2.3. Rencontre est le nom d'une relation absolument extérieure, où la pensée entre en rapport avec ce qui ne dépend pas d'elle.
-
9.2.3.1 Ce qui est rencontré n'est pas simplement différent de la pensée (comme par exemple une image, un fait, etc.),
mais extérieur à elle en tant que pensée.
-
9.2.3.2 Ce qui est rencontré est ce que la pensée ne pense pas, ne sait pas penser, ne pense pas encore.
-
9.2.4. Tout désir procède d'une rencontre. (Cf. 34.2.1.) (Cf. 47.1.1.)
-
9.2.4.1. Le désir est production.
-
9.2.4.1.1. Non théâtre mais usine, si le désir produit, il produit du réel.
-
9.2.4.1.1.1. L'être objectif du désir est le réel lui-même.
-
9.2.4.2. Le désir n'est pas manque mais processus, apprentissage vagabond.
-
9.2.4.3. Le désir n'est pas donné d'avance et n'est pas un mouvement qui irait du dedans au dehors :
il naît au dehors d'une rencontre ou d'un couplage.
-
9.2.4.3.1. La relation est première, l'origine est couplage, le donné est toujours produit.
- 9.2.5. Il n'y a de rencontre qu'avec des signes.
-
9. Il faut que quelque chose force la pensée, l'ébranle et l'entraîne dans une recherche
9.2.5.2. Le signe est toujours celui d'Autrui. (Cf. 31.2.)
9.2.5.3. Développer le signe n'est pas du tout chercher un sens caché, puisque le sens se confond avec le dynamisme même du développement,
mais parvenir à le répéter, à répéter le pur mouvement, à le contracter en un signe qu'il faut appeler ritournelle (Cf. 19.3.)
9.2.5.4. Le sens est comme l'envers du signe : l'explication de ce qu'il implique.
9.2.5.4.1. Le sens comme mouvement même de la pensée, distinct des significations explicites, n'émerge que dans le signe
et se confond avec son explication.
9.2.5.4.2. Il n'y a de sens que dans les interstices de la représentation, dans le hiatus des points de vue. (Cf. 19.4.1.)
9.2.5.4.3. Le sens est divergence, dissonance, disjonction. (Cf. 19.4.)
9.2.5.4.3.1. Penser consiste dans l'émergence du sens comme force.
9.2.5.4.3.1.1. C'est en ce sens que l'activité philosophique - former des concepts - a toujours lieu au milieu, et ne maîtrise pas son commencement.
Le sens est problème : « accord discordant », dissonance non résolue.
<9.2.5.4.3.1.1.
10.>
index. -
...
-
-
10.
La bêtise est cette condition de la pensée comme simple faculté, « à savoir qu'elle ne pense pas tant que rien ne la force ».
<9.2.5.4.4.
10.1.>
index. -
-
10.1.
10. La bêtise est cette condition de la pensée comme simple faculté, « à savoir qu'elle ne pense pas tant que rien ne la force ».
La bêtise consiste moins dans une permutation de l'important et de l'inimportant que dans l'indifférence à leur égard,
dans l'incapacité à les distinguer et à distinguer par conséquent quoi que ce soit.
<10.
11.>
index. -
-
-
11.1.
11. C'est en fonction d'une certaine problématique qu'une question devient et surtout qu'une proposition prend sens.
Le sens n'est autre que le rapport d'une proposition, non pas à la question dont elle est la réponse,
double stérile, mais au problème hors duquel elle n'a pas de sens. (Cf. 46.)
<11.
12.>
index. -
-
-
-
12.1.1.
12. Une « chose » est un phénomène de tout ordre, physique, biologique, humain.
12.1. Une chose n'a pas de sens en soi, mais seulement en fonction d'une force qui s'en empare.
Le sens n'apparaît que dans le rapport de la chose avec la force dont elle est le phénomène. (Cf. 13.1.)
<12.1
12.1.1.1.>
index. -
-
12.1.1.1.
12. Une « chose » est un phénomène de tout ordre, physique, biologique, humain.
12.1. Une chose n'a pas de sens en soi, mais seulement en fonction d'une force qui s'en empare.
12.1.1. Le sens n'apparaît que dans le rapport de la chose avec la force dont elle est le phénomène. (Cf. 13.1.)
Le sens renvoie à une affirmation.
<12.1.1
12.1.1.1.1.>
index. -
-
12.1.1.1.1.
12. Une « chose » est un phénomène de tout ordre, physique, biologique, humain.
12.1. Une chose n'a pas de sens en soi, mais seulement en fonction d'une force qui s'en empare.
12.1.1. Le sens n'apparaît que dans le rapport de la chose avec la force dont elle est le phénomène. (Cf. 13.1.)
12.1.1.1. Le sens renvoie à une affirmation.
Affirmer, c'est toujours tracer une différence, établir une hiérarchie, évaluer. (Cf. 21.)
<12.1.1.1
12.1.1.1.1.1.>
index. -
-
12.1.1.1.1.1.
12. Une « chose » est un phénomène de tout ordre, physique, biologique, humain.
12.1. Une chose n'a pas de sens en soi, mais seulement en fonction d'une force qui s'en empare.
12.1.1. Le sens n'apparaît que dans le rapport de la chose avec la force dont elle est le phénomène. (Cf. 13.1.)
12.1.1.1. Le sens renvoie à une affirmation.
12.1.1.1.1. Affirmer, c'est toujours tracer une différence, établir une hiérarchie, évaluer. (Cf. 21.)
Le sens concerne une volonté plutôt qu'une chose, une affirmation plutôt qu'un être, un clivage plutôt qu'un contenu,
une manière d'évaluer plutôt qu'une signification. (Cf. 22.1.1.)
<12.1.1.1.1
13.>
index. -
-
-
-
-
14.
Ce qui intéresse avant tout la pensée, c'est l'hétérogénéité des manières de vivre et de penser.
<13.2.
15.>
index. -
-
-
-
15.1.1.
15. Seul « existe » le corps, c'est la pensée qui doit être expliquée.
15.1. Qu'est-ce qu'un corps sinon une certaine manière de peser, de résister, d'opacifier, etc. ?
La représentation désincarne le corps : on ne donne pas forme sans contourner le corps et lui enlever son dehors,
sans mettre le dehors à l'extérieur au lieu de s'impliquer.
<15.1
15.1.1.1.>
index. -
-
15.1.1.1.
15. Seul « existe » le corps, c'est la pensée qui doit être expliquée.
15.1. Qu'est-ce qu'un corps sinon une certaine manière de peser, de résister, d'opacifier, etc. ?
15.1.1. La représentation désincarne le corps : on ne donne pas forme sans contourner le corps et lui enlever son dehors,
sans mettre le dehors à l'extérieur au lieu de s'impliquer.
La représentation isole le corps, elle le sépare de ce qu'il peut ; la ligne-contour dessine des anges plutôt que des corps.
<15.1.1
16.>
index. -
-
16.
Le monde extérieur devient intéressant lorsqu'il fait signe et perd ainsi son unité rassurante,
son homogénéité, son apparence véridique.
<15.1.1.1.
17.>
index. -
-
17.
Penser, c'est penser autrement. On ne pense qu'autrement.
<16.
17.1.>
index. -
-
17.1.
17. Penser, c'est penser autrement. On ne pense qu'autrement.
La pensée se voit contrainte de penser ce que pourtant elle ne peut pas penser encore.
<17.
18.>
index. -
-
-
-
18.1.1.
18. Penser est dans un rapport fondamental avec l'affect.
18.1. Une rencontre est un affect,
autrement dit un signe qui fait communiquer les points de vue et les rend sensibles en tant que points de vue.
Rencontrer le dehors, c'est toujours être forcé, involontairement affecté.
<18.1
18.1.1.1.>
index. -
-
18.1.1.1.
18. Penser est dans un rapport fondamental avec l'affect.
18.1. Une rencontre est un affect,
autrement dit un signe qui fait communiquer les points de vue et les rend sensibles en tant que points de vue.
18.1.1. Rencontrer le dehors, c'est toujours être forcé, involontairement affecté.
Dehors, ce mot a deux sens complémentaires : le non-représentable, ou le dehors de la représentation ;
la consistance même du non-représentable, à savoir l'extériorité des relations.
<18.1.1.
18.1.1.2.>
index. -
-
18.1.1.2.
18. Penser est dans un rapport fondamental avec l'affect.
18.1. Une rencontre est un affect,
autrement dit un signe qui fait communiquer les points de vue et les rend sensibles en tant que points de vue.
18.1.1. Rencontrer le dehors, c'est toujours être forcé, involontairement affecté.
18.1.1.1. Dehors, ce mot a deux sens complémentaires : le non-représentable, ou le dehors de la représentation ;
la consistance même du non-représentable, à savoir l'extériorité des relations.
La pensée, au contact du dehors, est en devenir : elle devient autre et se bat contre ce qu'elle cesse d'être.
<18.1.1.1
18.1.1.3>
index. -
-
18.1.1.3.
18. Penser est dans un rapport fondamental avec l'affect.
18.1. Une rencontre est un affect,
autrement dit un signe qui fait communiquer les points de vue et les rend sensibles en tant que points de vue.
18.1.1. Rencontrer le dehors, c'est toujours être forcé, involontairement affecté.
18.1.1.1. Dehors, ce mot a deux sens complémentaires : le non-représentable, ou le dehors de la représentation ;
la consistance même du non-représentable, à savoir l'extériorité des relations.
18.1.1.2. La pensée, au contact du dehors, est en devenir : elle devient autre et se bat contre ce qu'elle cesse d'être.
Le fait moderne est l'inclusion du dehors dans le monde, et non au-delà, outre-monde.
<18.1.1.2.
19.>
index. -
-
19.
Penser commence avec la différence.
<18.1.1.3.
19.1.>
index. -
-
19.1.
19. Penser commence avec la différence.
La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
<19.
19.2.>
index. -
-
19.2.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
<19.1.
19.2.1.>
index. -
-
19.2.1.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
Il faut discernement du stérile et du fécond.
<19.2.
19.3.>
index. -
-
19.3.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
<19.2.1.
19.4.>
index. -
-
19.4.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
<19.3.
19.4.1.>
index. -
-
19.4.1.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
<19.4.
19.4.1.1.>
index. -
-
19.4.1.1.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
Tout point de vue est point de vue sur une variation.
<19.4.1.
19.4.1.1.1.>
index. -
-
19.4.1.1.1.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
<19.4.1.1.
19.4.1.1.2.>
index. -
-
19.4.1.1.2.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
<19.4.1.1.1.
19.4.1.1.2.1.>
index. -
-
19.4.1.1.2.1.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
19.4.1.1.2. Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
Le chaos n'est pas un état inerte ce n'est pas un mélange au hasard.
<19.4.1.1.2.
19.4.1.1.2.2.>
index. -
-
19.4.1.1.2.2.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
19.4.1.1.2. Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
19.4.1.1.2.1. Le chaos n'est pas un état inerte ce n'est pas un mélange au hasard.
Le chaos chaotise et défait dans l'infini toute consistance.
<19.4.1.1.2.1.
19.4.1.1.3.>
index. -
-
19.4.1.1.3.
19. Penser commence avec la différence.
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
19.4.1.1.2. Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
19.4.1.1.2.1. Le chaos n'est pas un état inerte ce n'est pas un mélange au hasard.
19.4.1.1.2.2. Le chaos chaotise et défait dans l'infini toute consistance.
C'est toujours une âme qui inclut ce qu'elle saisit de son point de vue, c'est-à-dire l'inflexion.
<19.4.1.1.2.2.
19.4.1.1.3.1.>
index. -
-
19.4.1.1.3.1.
-
...
-
19. Penser commence avec la différence.
-
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
-
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
-
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
-
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
-
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
-
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
-
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
-
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
-
19.4.1.1.2. Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
-
19.4.1.1.2.1. Le chaos n'est pas un état inerte ce n'est pas un mélange au hasard.
-
19.4.1.1.2.2. Le chaos chaotise et défait dans l'infini toute consistance.
-
19. Penser commence avec la différence.
L'inflexion est une idéalité ou virtualité qui n'existe actuellement que dans l'âme qui l'enveloppe. (Cf. 35.1.1.2.)
<19.4.1.1.3.
19.4.2.>
index. -
...
-
-
19.4.2.
-
...
-
19. Penser commence avec la différence.
-
19.1. La différence est aussi bien communication que contagion des hétérogènes.
-
19.1.2. Toute différence n'est pas ément féconde (tout couplage ou tout montage).
-
19.1.2.1. Il faut discernement du stérile et du fécond.
-
19.3. Répéter, pour une différence, c'est reprendre à distance, donc ouvrir une perspective.
-
19.4. Une divergence n'éclate jamais sans contamination réciproque d'un point de vue.
-
19.4.1. Un point de vue ne s'affirme ou ne devient sensible qu'en mesurant la distance qui le sépare des autres,
en menant jusqu'au bout de la distance, en passant dans les autres points de vue.
-
19.4.1.1. Tout point de vue est point de vue sur une variation.
-
19.4.1.1.1. Le point de vue est dans chaque domaine de variation la puissance d'ordonner les cas,
la condition de la manifestation du vrai.
-
19.4.1.1.2. Toujours trouver le bon point de vue, ou plutôt le meilleur, sans lequel il n'y aurait que désordre et chaos.
-
19.4.1.1.2.1. Le chaos n'est pas un état inerte ce n'est pas un mélange au hasard.
-
19.4.1.1.2.2. Le chaos chaotise et défait dans l'infini toute consistance.
-
19. Penser commence avec la différence.
19.4.1.1.3.1. L'inflexion est une idéalité ou virtualité qui n'existe actuellement que dans l'âme qui l'enveloppe. (Cf. 35.1.1.2.)
Quelque chose ne s'éprouve, ne consiste au sens fort,
que dans la mise en perspective qui déplace les points de vue en les faisant se reprendre inégalement les uns les autres. (Cf. 23.)
<19.4.1.1.3.1.
20.>
index. -
...
-
-
-
-
21.
Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
<20.1.
21.1.>
index. -
-
21.1.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
<21.
21.2.>
index. -
-
21.2.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser..
Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
<21.1.
21.3.>
index. -
-
21.3.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
<21.2.
21.3.1.>
index. -
-
21.3.1.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
21.3. Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
Le faux problème par excellence consiste donc à faire du négatif le moteur même de la pensée. (Cf. 23.2.)
<21.3.
21.3.1.1.>
index. -
-
21.3.1.1.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
21.3. Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
21.3.1. Le faux problème par excellence consiste donc à faire du négatif le moteur même de la pensée. (Cf. 23.2.)
Le négatif suppose l'identique, et participe ainsi de l'image dogmatique de la pensée.
<21.3.1.
21.3.1.2.>
index. -
-
21.3.1.2.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
21.3. Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
21.3.1. Le faux problème par excellence consiste donc à faire du négatif le moteur même de la pensée. (Cf. 23.2.)
21.3.1.1. Le négatif suppose l'identique, et participe ainsi de l'image dogmatique de la pensée.
Le négatif n'échoue pas seulement à mouvoir la pensée,
il est le symptôme par excellence d'une pensée qui ne se meut pas, habitée du souci primordial de conserver.
<21.3.1.1.
21.3.1.3.>
index. -
-
21.3.1.3.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
21.3. Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
21.3.1. Le faux problème par excellence consiste donc à faire du négatif le moteur même de la pensée. (Cf. 23.2.)
21.3.1.1. Le négatif suppose l'identique, et participe ainsi de l'image dogmatique de la pensée.
21.3.1.2. Le négatif n'échoue pas seulement à mouvoir la pensée,
il est le symptôme par excellence d'une pensée qui ne se meut pas, habitée du souci primordial de conserver.
Le négatif ne peut que dériver de l'affirmation.
<21.3.1.2.
21.3.2.>
index. -
-
21.3.2.
21. Le faux problème relève d'une impuissance à évaluer. (Cf. 34.3.1.)
21.1. Le faux problème est une manière de réfléchir et d'interroger sans se mettre à penser.
21.2. Un faux problème est une ombre, une énonciation en second qui n'affirme qu'en niant.
21.3. Le faux problème n'est pas mal posé, il ne pose rien du tout, il croit faire le mouvement mais ne meut que des ombres.
21.3.1. Le faux problème par excellence consiste donc à faire du négatif le moteur même de la pensée. (Cf. 23.2.)
21.3.1.1. Le négatif suppose l'identique, et participe ainsi de l'image dogmatique de la pensée.
21.3.1.2. Le négatif n'échoue pas seulement à mouvoir la pensée,
il est le symptôme par excellence d'une pensée qui ne se meut pas, habitée du souci primordial de conserver.
21.3.1.3. Le négatif ne peut que dériver de l'affirmation.
Le faux problème est d'invoquer des causes, de chercher une explication,
possible sans doute au niveau de l'effectuation matérielle de l'événement, mais impuissante devant l'irréductible hiatus des hétérogènes. (Cf. 25.)
<21.3.1.3.
22.>
index. -
-
22.
Il consiste au sens fort dans un chevauchement d'affects variables qui sont les événements de la Nature. -
-
22.1.
22. Le monde que nous nous représentons se noue dans des rapports de forces.
Il consiste au sens fort dans un chevauchement d'affects variables qui sont les événements de la Nature.
une force qui affecte (active) et une force affectée (passive ou réactive). -
-
22.1.1.
22. Le monde que nous nous représentons se noue dans des rapports de forces.
Il consiste au sens fort dans un chevauchement d'affects variables qui sont les événements de la Nature.
22.1. Un rapport de forces est inégal par nature, il implique un phénomène de domination,
une force qui affecte (active) et une force affectée (passive ou réactive).
en devenant maître de cette force et de sa volonté, en lui imposant sa propre volonté. -
-
23.
il faut que le négatif ne soit plus une simple conséquence, mais le mobile même de la force. -
-
23.1.
23. La différence de perspective exige l'intériorisation de la relation :
il faut que le négatif ne soit plus une simple conséquence, mais le mobile même de la force.
-
-
23.2.
23. La différence de perspective exige l'intériorisation de la relation :
il faut que le négatif ne soit plus une simple conséquence, mais le mobile même de la force.
23.1. Sans doute le négatif est-il la meilleure façon de représenter le mouvement, mais justement de le représenter et non de le faire.
-
-
23.3.
23. La différence de perspective exige l'intériorisation de la relation :
il faut que le négatif ne soit plus une simple conséquence, mais le mobile même de la force.
23.1. Sans doute le négatif est-il la meilleure façon de représenter le mouvement, mais justement de le représenter et non de le faire.
23.2. Faire le mouvement en niant, dans la pensée ou dans la vie, est l'espoir d'une force soumise.
qui toujours revient au même : le négatif, le manque. -
-
24.
-
-
25.
Penser n'est ni savoir ni ignorer, mais chercher, et l'on ne cherche que si l'on a déjà trouvé le minimum enveloppé
- signe - qui entraîne la pensée dans un mouvement de recherche.
<24.
25.1.>
index. -
-
25.1.
25. Penser n'est ni savoir ni ignorer, mais chercher, et l'on ne cherche que si l'on a déjà trouvé le minimum enveloppé
- signe - qui entraîne la pensée dans un mouvement de recherche.
Tant qu'on se contente du savoir et de l'ignorance,
on reste stupide devant une frontière négative qui ne retient rien de la dynamique réelle de la pensée.
<25.
26.>
index. -
-
26.
-
-
26.1.
26. Penser est d'abord une passion, et c'est en position de patient que le penseur devient actif, qu'il conquiert sa puissance de penser.
-
-
26.2.
26. Penser est d'abord une passion, et c'est en position de patient que le penseur devient actif, qu'il conquiert sa puissance de penser.
26.1. Le penseur est d'abord un patient. (Cf. 34.)
-
-
26.3.
26. Penser est d'abord une passion, et c'est en position de patient que le penseur devient actif, qu'il conquiert sa puissance de penser.
26.1. Le penseur est d'abord un patient. (Cf. 34.)
26.2. Penser doit être conquis, engendré dans la pensée.
et se rejoue tout entière à chaque fois. -
-
27.
-
-
27.1.
27. Quelque chose s'est passé : « le problème a changé ».
-
-
28.
-
-
29.
Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
<28.
29.1.>
index. -
-
29.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
Être s'efface devant devenir.
<29.
29.1.1.>
index. -
-
29.1.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
<29.1.
29.1.1.1.>
index. -
-
29.1.1.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
<29.1.1.
29.1.2.>
index. -
-
29.1.2.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
Devenir est le contenu propre au désir.
<29.1.1.
29.1.2.1.>
index. -
-
29.1.2.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
29.1.2. Devenir est le contenu propre au désir.
Désirer c'est passer par des devenirs.
<29.1.2.
29.1.3.>
index. -
-
29.1.3.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
29.1.2. Devenir est le contenu propre au désir.
29.1.2.1. Désirer c'est passer par des devenirs.
Devenir n'est pas une généralité, devenir est une réalité.
<29.1.2.1.
29.1.3.1.>
index. -
-
29.1.3.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
29.1.2. Devenir est le contenu propre au désir.
29.1.2.1. Désirer c'est passer par des devenirs.
29.1.3. Devenir n'est pas une généralité, devenir est une réalité.
Les devenirs, loin de ressortir du rêve ou à l'imaginaire, sont la consistance même du réel.
<29.1.3.
29.1.4.>
index. -
-
29.1.4.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
29.1.2. Devenir est le contenu propre au désir.
29.1.2.1. Désirer c'est passer par des devenirs.
29.1.3. Devenir n'est pas une généralité, devenir est une réalité.
29.1.3.1. Les devenirs, loin de ressortir du rêve ou à l'imaginaire, sont la consistance même du réel.
Tout devenir forme un bloc.
<29.1.3.1.
29.1.4.1.>
index. -
-
29.1.4.1.
29. Tout ce qui existe est en devenir, rien n'est donné « une fois pour toutes ».
29.1. Être s'efface devant devenir.
29.1.1. Devenir n'est pas changer, puisqu'il n'y a pas un terme ou de fin au devenir.
En revanche tout changement enveloppe un devenir qui, saisi comme tel, nous soustrait à l'emprise de la reterritorialisation.
29.1.1.1. Dans un devenir ce n'est pas le terme qui est recherché mais le devenir lui-même.
29.1.2. Devenir est le contenu propre au désir.
29.1.2.1. Désirer c'est passer par des devenirs.
29.1.3. Devenir n'est pas une généralité, devenir est une réalité.
29.1.3.1. Les devenirs, loin de ressortir du rêve ou à l'imaginaire, sont la consistance même du réel.
29.1.4. Tout devenir forme un bloc.
=> Rencontre ou relation entre deux termes hétérogènes qui déterritorialisent mutuellement.
<29.1.4.
30.>
index. -
-
30.
La mort n'est pas du tout conçue comme un moment de la vie, comme un moment dont se nourrirait la vie
et dont elle constituerait le dépassement.
<29.1.4.1.
30.1>
index. -
-
30.1.
30. La mort n'est pas du tout conçue comme un moment de la vie, comme un moment dont se nourrirait la vie
et dont elle constituerait le dépassement.
La mort n'ordonne rien, ne décide de rien.
<30.
30.2.>
index. -
-
30.2.
30. La mort n'est pas du tout conçue comme un moment de la vie, comme un moment dont se nourrirait la vie
et dont elle constituerait le dépassement.
30.1 La mort n'ordonne rien, ne décide de rien.
Ce sont les organismes qui meurent, pas la vie.
<30.1.
31.>
index. -
-
31.
« Une vie » est une condensation ou une complication d'époques en un seul et même moment. (Cf. 36.)
<30.2.
31.1.>
index. -
-
31.1.
31. « Une vie » est une condensation ou une complication d'époques en un seul et même moment. (Cf. 36.)
Une personne vivante connaît des présents successifs qui marquent les époques de sa vie,
et qui ne se mettent pas bout à bout mais constituent des plans différents, avec des sauts ou des ruptures de l'un à l'autre. (Cf. 34.)
<31.
31.1.1.>
index. -
-
31.1.1.
31. « Une vie » est une condensation ou une complication d'époques en un seul et même moment. (Cf. 36.)
31.1. Une personne vivante connaît des présents successifs qui marquent les époques de sa vie,
et qui ne se mettent pas bout à bout mais constituent des plans différents, avec des sauts ou des ruptures de l'un à l'autre. (Cf. 34.)
Une vie ne se déroule pas du début à la fin au présent.
<31.1.
31.2.>
index. -
-
31.2.
31. « Une vie » est une condensation ou une complication d'époques en un seul et même moment. (Cf. 36.)
31.1. Une personne vivante connaît des présents successifs qui marquent les époques de sa vie,
et qui ne se mettent pas bout à bout mais constituent des plans différents, avec des sauts ou des ruptures de l'un à l'autre. (Cf. 34.)
31.1.1. Une vie ne se déroule pas du début à la fin au présent.
Nous ne sommes vivants, intenses, et ne pensons qu'en tant qu'un autre au moins pense en nous.
<31.1.1.
32.>
index. -
-
32.
Penser n'est pas représenter.
<31.2.
32.1.>
index. -
-
32.1.
32. Penser n'est pas représenter.
On ne recherche pas une adéquation avec une supposée réalité objective, mais un effet réel qui relance et la vie et la pensée,
déplace les enjeux, les relance plus loin et ailleurs.
<32.
32.2.>
index. -
-
32.2.
32. Penser n'est pas représenter.
32.1. On ne recherche pas une adéquation avec une supposée réalité objective, mais un effet réel qui relance et la vie et la pensée,
déplace les enjeux, les relance plus loin et ailleurs.
Ne pas négliger de reconnaître ce que nous pousse à penser car cela enveloppe ce que nous ne pensons pas encore.
<32.1.
33.>
index. -
-
33.
Penser - mais aussi aimer, désirer - dépend de la possibilité d'affirmer le futur comme tel,
et de vivre en quelque sorte l'invivable.
<32.2.
34.>
index. -
-
34.
Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
<33.
34.1.>
index. -
-
34.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
<34.
34.1.1.>
index. -
-
34.1.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
Le passé ne se constitue pas après le présent.
<34.1.
34.1.2.>
index. -
-
34.1.2.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
<34.1.1.
34.1.2.1.>
index. -
-
34.1.2.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
Le passé se constitue en même temps que le présent.
<34.1.2.
34.1.2.1.1.>
index. -
-
34.1.2.1.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
<34.1.2.1.
34.1.3.>
index. -
-
34.1.3.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
Le présent passe.
<34.1.2.1.1.
34.1.3.1.>
index. -
-
34.1.3.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
34.1.3. Le présent passe.
S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
<34.1.3.
34.2.>
index. -
-
34.2.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
34.1.3. Le présent passe.
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
<34.1.3.1.
34.2.1.>
index. -
-
34.2.1.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
34.1.3. Le présent passe.
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
<34.2.
34.3.>
index. -
-
34.3.
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
34.1.3. Le présent passe.
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
Le temps n'est rien à proprement parler, il ne consiste que dans des différences, et dans la relève d'une différence par une autre.
<34.2.1.
34.3.1.>
index. -
-
34.3.1.
-
...
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
-
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
-
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
-
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
-
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
-
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
-
34.1.3. Le présent passe.
-
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
-
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
- 34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
Le temps est la différence des différences, ou ce qui rapporte les différences les unes aux autres.
<34.3.
34.3.1.1.>
index. -
...
-
-
34.3.1.1.
-
...
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
-
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
-
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
-
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
-
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
-
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
-
34.1.3. Le présent passe.
-
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
-
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
- 34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.3.1. Le temps est la différence des différences, ou ce qui rapporte les différences les unes aux autres.
Le temps est tout à la fois l'Anonyme et l'Individuant : impersonnel et inqualifiable, source de toute identité et de toute qualité.
<34.3.1.
34.3.1.1.1.>
index. -
...
-
-
34.3.1.1.1.
-
...
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
-
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
-
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
-
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
-
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
-
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
-
34.1.3. Le présent passe.
-
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
-
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
- 34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.3.1. Le temps est la différence des différences, ou ce qui rapporte les différences les unes aux autres.
34.3.1.1. Le temps est tout à la fois l'Anonyme et l'Individuant : impersonnel et inqualifiable, source de toute identité et de toute qualité.
Le moi éclate en âges distincts qui tiennent lieu de centre chacun son tour, sans que l'identité puisse jamais se fixer.
<34.3.1.1.
34.3.1.1.1.1.>
index. -
...
-
-
34.3.1.1.1.1.
-
...
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
-
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
-
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
-
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
-
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
-
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
-
34.1.3. Le présent passe.
-
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
-
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
- 34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.3.1. Le temps est la différence des différences, ou ce qui rapporte les différences les unes aux autres.
34.3.1.1. Le temps est tout à la fois l'Anonyme et l'Individuant : impersonnel et inqualifiable, source de toute identité et de toute qualité.
34.3.1.1.1. Le moi éclate en âges distincts qui tiennent lieu de centre chacun son tour, sans que l'identité puisse jamais se fixer.
Il appartient à l'identité d'être perdue, et à l'identification de commencer toujours trop tard, après coup.
<34.3.1.1.1.
34.3.1.2.>
index. -
...
-
-
34.3.1.2.
-
...
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34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
-
34.1. Le temps se dédouble à chaque instant en présent et passé.
-
34.1.1. Le passé ne se constitue pas après le présent.
-
34.1.2. Le passé ne succède pas au présent qu'il n'est plus.
-
34.1.2.1. Le passé se constitue en même temps que le présent.
-
34.1.2.1.1. Le passé coexiste avec le présent qu'il a été.
-
34.1.3. Le présent passe.
-
34.1.3.1. S'il passe, il est contemporain de son propre passé.
-
34.2. Il est juste de dire que nous passons d'un présent à un autre, et non que son contenu seul change.
- 34.2.1. Une rencontre, inversement, entraîne celui qu'elle surprend dans une nouvelle dimension temporelle qui rompt avec l'ancienne.
-
34. Le temps, pur changement, est le passage d'une dimension à une autre (devenir).
34.3.1. Le temps est la différence des différences, ou ce qui rapporte les différences les unes aux autres.
34.3.1.1. Le temps est tout à la fois l'Anonyme et l'Individuant : impersonnel et inqualifiable, source de toute identité et de toute qualité.
34.3.1.1.1. Le moi éclate en âges distincts qui tiennent lieu de centre chacun son tour, sans que l'identité puisse jamais se fixer.
34.3.1.1.1.1. Il appartient à l'identité d'être perdue, et à l'identification de commencer toujours trop tard, après coup.
Le temps flotte dans le vide, lui-même vide.
<34.3.1.1.1.1.
35.>
index. -
...
-
-
-
35.
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.) -
-
35.1.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité. -
-
35.1.1.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
35.1. Et c'est pourquoi le processus d'actualisation est logiquement inséparable du mouvement inverse de cristallisation
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité.
-
-
35.1.1.1.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
35.1. Et c'est pourquoi le processus d'actualisation est logiquement inséparable du mouvement inverse de cristallisation
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité.
35.1.1. Le virtuel n'est pas un deuxième monde, il n'existe pas hors des corps bien qu'il ne ressemble pas à leur actualité.
-
-
35.1.1.2.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
35.1. Et c'est pourquoi le processus d'actualisation est logiquement inséparable du mouvement inverse de cristallisation
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité.
35.1.1. Le virtuel n'est pas un deuxième monde, il n'existe pas hors des corps bien qu'il ne ressemble pas à leur actualité.
35.1.1.1. Le virtuel ne s'oppose pas au réel mais seulement à l'actuel.
-
-
35.1.1.2.1.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
35.1. Et c'est pourquoi le processus d'actualisation est logiquement inséparable du mouvement inverse de cristallisation
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité.
35.1.1. Le virtuel n'est pas un deuxième monde, il n'existe pas hors des corps bien qu'il ne ressemble pas à leur actualité.
35.1.1.1. Le virtuel ne s'oppose pas au réel mais seulement à l'actuel.
35.1.1.2. Le virtuel est l'insistance de ce qui n'est pas donné.
-
-
35.1.1.2.2.
35. Il n'y a de réel - c'est-à-dire de rencontre et non seulement d'objet d'avance reconnu comme possible
- qu'en voie d'actualisation.(Cf. 44.2.)
35.1. Et c'est pourquoi le processus d'actualisation est logiquement inséparable du mouvement inverse de cristallisation
qui restitue au donné sa part irréductible de virtualité.
35.1.1. Le virtuel n'est pas un deuxième monde, il n'existe pas hors des corps bien qu'il ne ressemble pas à leur actualité.
35.1.1.1. Le virtuel ne s'oppose pas au réel mais seulement à l'actuel.
35.1.1.2. Le virtuel est l'insistance de ce qui n'est pas donné.
35.1.1.2.1. Qu'il y ait du virtuel signifie donc d'abord que tout n'est pas donné, ni donnable.
c'est-à-dire de l'alternative comme loi de division du réel qui assigne d'emblée mon expérience à un certain champ de possibles. -
-
-
36.
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres. -
-
36.1.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
-
-
36.2.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
36.1. Ces redistributions sont datables mais ne peuvent s'aligner dans la continuité d'un présent permanent,
coextensif au temps du monde.
-
-
36.2.1.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
36.1. Ces redistributions sont datables mais ne peuvent s'aligner dans la continuité d'un présent permanent,
coextensif au temps du monde.
36.2. Il n'y a donc pas vie en général.
répertoriant d'après le type d'évaluation qui les commande ou les anime. -
-
36.2.1.1.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
36.1. Ces redistributions sont datables mais ne peuvent s'aligner dans la continuité d'un présent permanent,
coextensif au temps du monde.
36.2. Il n'y a donc pas vie en général.
36.2.1. La vie n'est pas un absolu indifférencié mais une multiplicité de plans hétérogènes d'existence,
répertoriant d'après le type d'évaluation qui les commande ou les anime.
-
-
36.2.1.2.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
36.1. Ces redistributions sont datables mais ne peuvent s'aligner dans la continuité d'un présent permanent,
coextensif au temps du monde.
36.2. Il n'y a donc pas vie en général.
36.2.1. La vie n'est pas un absolu indifférencié mais une multiplicité de plans hétérogènes d'existence,
répertoriant d'après le type d'évaluation qui les commande ou les anime.
36.2.1.1. Le multiple, ce n'est pas seulement ce qui a beaucoup de parties, mais ce qui est plié de beaucoup de façons.
-
-
36.2.2.
36. L'histoire du monde, comme celle d'une vie, est marquée par des redistributions ou événements qui pullulaient le champ des possibles,
ou plutôt le démultiplient en champs incompossibles les uns avec les autres.
36.1. Ces redistributions sont datables mais ne peuvent s'aligner dans la continuité d'un présent permanent,
coextensif au temps du monde.
36.2. Il n'y a donc pas vie en général.
36.2.1. La vie n'est pas un absolu indifférencié mais une multiplicité de plans hétérogènes d'existence,
répertoriant d'après le type d'évaluation qui les commande ou les anime.
36.2.1.1. Le multiple, ce n'est pas seulement ce qui a beaucoup de parties, mais ce qui est plié de beaucoup de façons.
36.2.1.2. Une singularité n'est jamais isolable mais se prolonge toujours jusqu'au voisinage d'une autre selon le principe des couplages.
ou qui s'emploie à la faire résonner les uns dans les autres. -
-
37.
Le monde est dans le sujet, le sujet n'en est pas moins pour le monde.
<36.2.2.
37.1.>
index. -
-
37.1.
37. Le monde est dans le sujet, le sujet n'en est pas moins pour le monde.
Il faut mettre le monde dans le sujet, afin que le sujet soit pour le monde.
<37.
37.1.1.>
index. -
-
37.1.1.
37. Le monde est dans le sujet, le sujet n'en est pas moins pour le monde.
37.1. Il faut mettre le monde dans le sujet, afin que le sujet soit pour le monde.
L'âme est l'expression du monde (actualité).
<37.1.
37.1.2.>
index. -
-
37.1.2.
37. Le monde est dans le sujet, le sujet n'en est pas moins pour le monde.
37.1. Il faut mettre le monde dans le sujet, afin que le sujet soit pour le monde.
37.1.1 L'âme est l'expression du monde (actualité).
Le monde est l'exprimé de l'âme (virtualité).
<37.1.1.
38.>
index. -
-->
-
38.
La morale consiste en ceci pour chacun : essayer chaque fois d'étendre sa région d'expression claire,
essayer d'augmenter son amplitude, de manière à produire un acte libre qui exprime le maximum possible dans telles ou telles conditions.
(Cf. 44.)
<37.1.2.
39.>
index. -
-
-
39.
Le sujet est effet et non cause, résidu et non origine.
<38.
39.1.>
index. -
-
39.1.
39. Le sujet est effet et non cause, résidu et non origine.
L'illusion commence quand on tient le sujet justement pour une origine - des pensées, des désirs, etc.
<39.
39.1.1.>
index. -
-
39.1.1.
39. Le sujet est effet et non cause, résidu et non origine.
39.1. L'illusion commence quand on tient le sujet justement pour une origine - des pensées, des désirs, etc.
=> Pas d'avancée qui ne se fasse par bifurcation, rencontre imprévisible, réévaluation d'un ensemble depuis un angle inédit.
<39.1.
40.>
index. -
-
40.
Tout, c'est ce qui arrive, quoiqu'il arrive.
<39.1.1.
40.1.>
index. -
-
40.1.
40. Tout, c'est ce qui arrive, quoiqu'il arrive.
Tout ce qui arrive ne peut provenir que du monde - clause d'immanence, et de croyance correspondante.
<40.
40.1.1.>
index. -
-
40.1.1.
40. Tout, c'est ce qui arrive, quoiqu'il arrive.
40.1. Tout ce qui arrive ne peut provenir que du monde - clause d'immanence, et de croyance correspondante.
Croire à ce monde-ci comme à l'impossible,
c'est-à -dire à ses potentialités créatrices ou à la création de possibles. (Cf. 47.)
<40.1.
41.>
index. -
-
-
-
41.
Tomber amoureux, cesser de s'aimer ne logent dans aucun présent.
<40.1.1.
41.1.>
index. -
-
41.1.
41. Tomber amoureux, cesser de s'aimer ne logent dans aucun présent.
Au-delà des actes et des sentiments, ce sont des crises temporelles,
des subversions du présent dont le sujet ne sort pas indemne, identique à ce qu'il était.
<41.
41.2.>
index. -
-
41.2.
41. Tomber amoureux, cesser de s'aimer ne logent dans aucun présent.
41.1. Au-delà des actes et des sentiments, ce sont des crises temporelles,
des subversions du présent dont le sujet ne sort pas indemne, identique à ce qu'il était.
Une rencontre effective n'est certes pas fusionnelle, il y faut toute une « politesse »,
un art des distances - ni trop près, ni trop loin.
<41.1.
42.>
index. -
-
42.
L'art ne représente pas le monde mais le fait disjoncter, par percepts et affects.
<41.2.
43.>
index. -
-
-
43.
Une reformulation du cogito pourrait être « on pense » ou encore « il pense » au sens où l'on dit qu'il pleut et qu'il y a du vent.
<42.
44.>
index. -
-
44.
La différence éthique se distingue absolument de l'opposition morale en ce qu'il n'y est plus question de juger l'existence en général
au nom de valeurs transcendantes, sans percevoir la variété et l'inégalité de ses manifestations.
<43.
44.1.>
index. -
-
44.1.
44. La différence éthique se distingue absolument de l'opposition morale en ce qu'il n'y est plus question de juger l'existence en général
au nom de valeurs transcendantes, sans percevoir la variété et l'inégalité de ses manifestations.
La vérité est l'épreuve de la différence éthique,
où la vie « ne se divise pas sans changer de nature » à chaque nouvelle distance parcourue, à chaque nouvelle perspective conquise.
<44.
44.2.>
index. -
-
44.2.
44. La différence éthique se distingue absolument de l'opposition morale en ce qu'il n'y est plus question de juger l'existence en général
au nom de valeurs transcendantes, sans percevoir la variété et l'inégalité de ses manifestations.
44.1. La vérité est l'épreuve de la différence éthique,
où la vie « ne se divise pas sans changer de nature »à chaque nouvelle distance parcourue, à chaque nouvelle perspective conquise.
La différence éthique est rythme.
<44.1.
45.>
index. -
-
45.
La consistance du monde est dans l'affect ou la sensation, autrement dit dans l'événement qui rend un état de choses distinct.
<44.2.
45.1.>
index. -
-
45.1.
45. La consistance du monde est dans l'affect ou la sensation, autrement dit dans l'événement qui rend un état de choses distinct.
Mais cet événement n'est pas du corps, bien qu'il arrive aux corps ;
il est à la limite des corps, dans le passage d'un état de choses à un autre (par exemple : grandir).
<45.
45.2.>
index. -
-
45.2.
45. La consistance du monde est dans l'affect ou la sensation, autrement dit dans l'événement qui rend un état de choses distinct.
45.1. Mais cet événement n'est pas du corps, bien qu'il arrive aux corps ;
il est à la limite des corps, dans le passage d'un état de choses à un autre (par exemple : grandir).
L'événement est incorporel et s'évanouit dans l'actualisation du nouvel état de choses.
<45.1.
45.2.1.>
index. -
-
45.2.1.
45. La consistance du monde est dans l'affect ou la sensation, autrement dit dans l'événement qui rend un état de choses distinct.
45.1. Mais cet événement n'est pas du corps, bien qu'il arrive aux corps ;
il est à la limite des corps, dans le passage d'un état de choses à un autre (par exemple : grandir).
45.2. L'événement est incorporel et s'évanouit dans l'actualisation du nouvel état de choses.
Le langage n'est possible, c'est-à-dire un rapport proposition-chose n'est pensable,
qu'en vertu de cet élément incorporel qui doit être attribué aux corps, bien qu'il s'en distingue réellement.
<45.2.
45.2.2.>
index. -
-
45.2.2.
45. La consistance du monde est dans l'affect ou la sensation, autrement dit dans l'événement qui rend un état de choses distinct.
45.1. Mais cet événement n'est pas du corps, bien qu'il arrive aux corps ;
il est à la limite des corps, dans le passage d'un état de choses à un autre (par exemple : grandir).
45.2. L'événement est incorporel et s'évanouit dans l'actualisation du nouvel état de choses.
45.2.1. Le langage n'est possible, c'est-à-dire un rapport proposition-chose n'est pensable,
qu'en vertu de cet élément incorporel qui doit être attribué aux corps, bien qu'il s'en distingue réellement.
C'est par l'événement que le langage est en rapport avec les choses.
<45.2.1.
46.>
index. -
-
46.
L'heure philosophique n'est pas celle des questions générales plutôt que particulières,
mais celles des questions singulières, qui saisissent l'événement comme tel ou les choses comme des événements.
<45.2.2.
46.1.>
index. -
-
46.1.
46. L'heure philosophique n'est pas celle des questions générales plutôt que particulières,
mais celles des questions singulières, qui saisissent l'événement comme tel ou les choses comme des événements.
La philosophie n'est pas un discours sur la vie mais une activité vitale,
une manière qu'a la vie de s'intensifier en conservant ses passages, d'éprouver et d'évaluer ses propres divergences, ses propres incompatibilités.
<46.
47.>
index. -
-
47.
Peut-être est-il temps de croire à ce monde-ci, monde immanent qui porte en soi la divergence et,
de loin en loin, la gloire transitoire d'un « devenir-révolutionnaire ».
<46.
47.1.>
index. -
-
47.1.
47. Peut-être est-il temps de croire à ce monde-ci, monde immanent qui porte en soi la divergence et,
de loin en loin, la gloire transitoire d'un « devenir-révolutionnaire ».
Le devenir singulier de quelqu'un concerne en droit tout le monde.
<47.
47.1.1.>
index. -
-
47.1.1.
47. Peut-être est-il temps de croire à ce monde-ci, monde immanent qui porte en soi la divergence et,
de loin en loin, la gloire transitoire d'un « devenir-révolutionnaire ».
47.1. Le devenir singulier de quelqu'un concerne en droit tout le monde.
C'est par là que le désir est le vrai potentiel révolutionnaire.
<47.1.
47.2.>
index. -
-
47.2.
47. Peut-être est-il temps de croire à ce monde-ci, monde immanent qui porte en soi la divergence et,
de loin en loin, la gloire transitoire d'un « devenir-révolutionnaire ».
47.1. Le devenir singulier de quelqu'un concerne en droit tout le monde.
47.1.1. C'est par là que le désir est le vrai potentiel révolutionnaire.
Il n'y a de désir qu'agencé ou machiné.
<47.1.1.
48.>
index. -
-
48.
La littérature dérgage des visions et des auditions non langagières qui n'existent cependant pas hors du langage,
tandis que la philosophie dégage des mouvements abstraits exprimables qui obérissent aux mêmes conditions.
<47.2.
49.>
index. -
-
49.
Créer n'est pas donner forme à une matière, représenter un « Je » donné ou réfléchir sur lui,
mais dresser des heccéités - ritournelles, cristaux de temps, etc. - dans des matériaux visuels, sonores ou langagiers.
<48.
49.1.>
index. -
-
49.1.
49. Créer n'est pas donner forme à une matière, représenter un « Je » donné ou réfléchir sur lui,
mais dresser des heccéités - ritournelles, cristaux de temps, etc. - dans des matériaux visuels, sonores ou langagiers.
Heccéité : composition intensive, d'affects et de vitesses.
<49.
50.>
index. -
-
50.
Le penseur est heureux quand il n'a plus que le choix d'être vivant.
<49.1.
index.
conception
fabien zocco
lecture indirecte libre
frank smith